Tablier
De la bavette immaculée, telle une soubrette à la fée du logis, en mode BCBG ou SM, de cuir ou de vichy, c’est un peu notre bleu de travail en plus sexy. Il nous permet de nous habiller super chic sans crainte de se salir. Et de porter des corsages sous le tablier alors que peut être ils sont trop courts, trop brillants bref ils sont mis en valeur, cachés dessous. Il nous rappelle nos jeunes années et la blouse qui allait avec…
Il nous a tout fait, des poches plaquées, poches arrondies, volants, bavette, poche ventrale, liens croisés, plis creux, un exercice sans fin pour les cours de couture.
Il est vrai, on l’a un peu remisé au placard. De tous les goûts, doucement il était devenu ringard.
Pour trouver le point commun
Entre ma maman, Günther
Et la boulangère du coin
Sans mettre le feu à St Tropez,
Et restez coiffée
Jusqu’au bout de ses corvées
J’enfile mon tablier…
La mélodie du bonheur
Pour faire la baby sitter
Et se la jouer virtuose
Comme le magicien d’Oz
Un sentiment étrange me pourchasse
Mais… Qui me parle ? Esprit de Caroline Ingalls ?
Prête pour une journée de labeur
Même pas en sueur, je reste sensass
Du poulailler, jusqu’à l’évier
Je maîtrise le bricolage sans tâches
Le tablier, même le dimanche
Qui révèle le féminin
Et nous fait un bel écrin,
La vraie perle, comme une douceur
Est cachée à l’intérieur
Suivez le lien
Ah moi j’ai encore le tablier en tissu provençal que tu as confectionné Ramona pour ma fille lorsqu’elle avait 2 ans !
Maintenant c’est moi qui l’ulise dès que je cuisine.
Oui tu avais vu grand !😍😍
Droit de réponse
2 ans….?? déjà elle était très grande pour son âge !!! Je me souviens aussi du cabas qui allait avec. Bref j’avais vu surtout loin 😉
haaa quel symbole ! et quelle tenue ! et quel beau poème à l’ode de cet habit oublié. biblique presque.
bravo
Caroline ingalls ou la femme parfaite
Que de bons souvenirs d’enfance !!! Nous avons tous-tes fait des câlins sur les genoux de nos mamans et grand-mères…..en tablier.
J’ai longtemps gardé un tablier que m’avait confectionné ma grand mere , couturière hors pair, mais je ne t’apprend rien lâ recouserie…
Il était bleu, aveç un volant sur l’arrondi…
Il a fini sa vie aveç mes enfants…